Communique a l’ATS-SDA
Claude Covassi - Mais qui est donc le procureur Roschacher? Il est celui qui a détruit la vie du banquier Oskar Holenweger sur les allégations imaginaires d’un trafiquant de drogue. Il est celui qui a mené la banque Al-Taqwa à la faillite, et placé en détention sans preuves son président, Youssef Nada, sur simple demande des autorités américaines. Il est celui qui, toujours à la demande des autorités américaines, a fait emprisonner pendant deux ans des musulmans yéménites avant de s’apercevoir qu’il n’y avait aucune charge contre eux. Il est celui qui voulait faire interroger au Maroc un musulman résidant à Genève. Il est celui qui a laissé un agent de la CIA recherché par Interpol séjourner sur notre territoire sans être inquiété.
Covassi: La Commission de gestion, ainsi que le DFAE et le DFJP, ont refusé d’assurer ma protection pour mon retour en Suisse.
C’est sans doute l’énergie du désespoir qui a poussé le Ministère Public de la Confédération, le 8 juin dernier, à s’attribuer le mérite du démantèlement d’une cellule terroriste qui préparait un attentat contre un avion de la compagnie El Al dans notre pays.
Puisqu’il juge mon activité caduque, Roschacher ne verra sans doute aucun inconvénient à ce que je livre aux intéressés les informations que j’ai collectée pour son bureau, ainsi qu’aux médias celles qui concernent les activités illégales que la PJF m’a autorisé à accomplir afin d’assurer ma crédibilité auprès de groupes à caractère terroriste.
Tout le monde se doutait déjà que le procureur Roschacher était un incapable, on sait aujourd’hui qu’il est également un laquais rampant, subalterne d’une puissance étrangère. Son action n’aura servi qu’à inaugurer un nouveau rapport entre Berne et Washington : l’Axe des Imbéciles.
Commission de gestion
La Commission de gestion, ainsi que le DFAE et le DFJP, ont refusé d’assurer ma protection pour mon retour en Suisse. L’ambassade Suisse au Caire a également refusé d’entrer en matière.
C’est donc par mes propres moyens que j’ai entamé un retour il y a une semaine.
Je vais encore patienter jusqu’au 15 juin prochain que cette Commission indique enfin une date précise (avant la fin de la session parlementaire) à mon conseil pour mon audition. Passé ce délai, Monsieur le président Hofmann, ses camarades de classe et le secrétaire Schwab pourront aller passer leurs vacances estivales chez les grecs, et lire dans la presse internationale ce qu’ils refusent d’entendre à huis clos.
Depuis le premier article de Valérie Duby dans la Tribune de Genève, le 23 février dernier, je ne demande qu’un chose : être entendu par la commission de gestion, dont le travail est justement d’établir les disfonctionnement que je dénonce.
Services secrets israéliens
Selon le conseiller national Ueli Leuenberger, la rumeur indiquerait que je serais en « contact » avec les services secrets israéliens. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire aux journalistes Beat Kraushaar du Blick et Ian Hamel du Matin Dimanche : la politique d’épuration ethnique du peuple palestinien organisée par l’Etat d’Israël exclut pour moi toute possibilité de coopération avec leurs services de sécurités, ainsi que ceux de leurs affiliés.
Afin d’être encore plus explicite, et parce qu’il y a des erreurs qu’il n’est pas nécessaire de reproduire indéfiniment, je tiens à préciser qu’il n’y aura pas pour moi de retour en arrière. Cela exclut donc toute collaboration avec des services de renseignements, quels qu’ils soient.
Claude Covassi, le 11 juin 2006
Schweiz: Covassi - der Spion, der in die Kälte kam ...
Vereitelte Schweizer Geheimdienst Terroranschlag auf El-Al?
Covassi: La Commission de gestion, ainsi que le DFAE et le DFJP, ont refusé d’assurer ma protection pour mon retour en Suisse.
C’est sans doute l’énergie du désespoir qui a poussé le Ministère Public de la Confédération, le 8 juin dernier, à s’attribuer le mérite du démantèlement d’une cellule terroriste qui préparait un attentat contre un avion de la compagnie El Al dans notre pays.
Puisqu’il juge mon activité caduque, Roschacher ne verra sans doute aucun inconvénient à ce que je livre aux intéressés les informations que j’ai collectée pour son bureau, ainsi qu’aux médias celles qui concernent les activités illégales que la PJF m’a autorisé à accomplir afin d’assurer ma crédibilité auprès de groupes à caractère terroriste.
Tout le monde se doutait déjà que le procureur Roschacher était un incapable, on sait aujourd’hui qu’il est également un laquais rampant, subalterne d’une puissance étrangère. Son action n’aura servi qu’à inaugurer un nouveau rapport entre Berne et Washington : l’Axe des Imbéciles.
Commission de gestion
La Commission de gestion, ainsi que le DFAE et le DFJP, ont refusé d’assurer ma protection pour mon retour en Suisse. L’ambassade Suisse au Caire a également refusé d’entrer en matière.
C’est donc par mes propres moyens que j’ai entamé un retour il y a une semaine.
Je vais encore patienter jusqu’au 15 juin prochain que cette Commission indique enfin une date précise (avant la fin de la session parlementaire) à mon conseil pour mon audition. Passé ce délai, Monsieur le président Hofmann, ses camarades de classe et le secrétaire Schwab pourront aller passer leurs vacances estivales chez les grecs, et lire dans la presse internationale ce qu’ils refusent d’entendre à huis clos.
Depuis le premier article de Valérie Duby dans la Tribune de Genève, le 23 février dernier, je ne demande qu’un chose : être entendu par la commission de gestion, dont le travail est justement d’établir les disfonctionnement que je dénonce.
Services secrets israéliens
Selon le conseiller national Ueli Leuenberger, la rumeur indiquerait que je serais en « contact » avec les services secrets israéliens. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire aux journalistes Beat Kraushaar du Blick et Ian Hamel du Matin Dimanche : la politique d’épuration ethnique du peuple palestinien organisée par l’Etat d’Israël exclut pour moi toute possibilité de coopération avec leurs services de sécurités, ainsi que ceux de leurs affiliés.
Afin d’être encore plus explicite, et parce qu’il y a des erreurs qu’il n’est pas nécessaire de reproduire indéfiniment, je tiens à préciser qu’il n’y aura pas pour moi de retour en arrière. Cela exclut donc toute collaboration avec des services de renseignements, quels qu’ils soient.
Claude Covassi, le 11 juin 2006
Schweiz: Covassi - der Spion, der in die Kälte kam ...
Vereitelte Schweizer Geheimdienst Terroranschlag auf El-Al?
sfux - 13. Jun, 10:36 Article 4328x read